Mercredi avait été une journée compliqué pour moi. Il a deux semaines environ, j’avais appris la présence d’une tumeur dite bénigne dans le bas de mon ventre. Après de nombreuses disputes, discussion avec mon meilleur ami et petit ami Maël, j’avais accepté l’opération malgré tout les risques que cela pouvaient engendrée plus tard. Etant donnée que Mael était en stage le jour de mon opération, je n’en avais parlé qu’a mon ami Ainsley, quelqu’un que j’affectionne beaucoup et je savais qu’il serait la pour moi le jour j. Il avait passé la journée a m’attendre, après l’opération dans la salle de réveil. Les jours sont passés et chaque jour j’avais reçu la visite de mon petit castor, même aujourd’hui.

Il venait de partir et maintenant j’attendais l’arrivé de Mael qui me manquait énormément. Je sors avec mon meilleur ami et je le vois une a deux fois par semaine, ce n’est pas évident. J’étais impatiente de le voir arrivé et quand j’entendis toquer j’eu comme un sourire aux lèvres qui s’enlevait très vite quand je vu la tête d’Aaron.

« Qu’est ce que tu fais ici ? »

Vu le ton que j’employée avec la personne qui était sois disant mon ami, tout le monde pouvait sentir et comprendre la tension qu’il y avait entre nous. Je soupirais et restais de marbre, j’étais vraiment énervée contre lui, en réalité c’était pire que ça c’est de la déception et de l’incompréhension. Pendant des jours j’avais pleuré et a peine remise je me faisais opérer.

« Bah c’est bien. Je vais bien maintenant tu peux partir. »

Rancunière était un de mes plus grand défauts, la seule personne a qui j’arrivais a pardonné très vite c’est Mael mais ça on peut le comprendre (a). Je le regardais droit dans les yeux et fini par allumé la télévision.

« De quoi tu te mêles ? Puis d’abord comment tu sais que j’ai une tumeur. »

Je soupirais, franchement j’étais fatigué et je n’avais qu’une envie voir Mael et m’endormir dans ses bras mais je ne savais pas quand il allait arrivé. J’écoutais Aaron me parlait même si je regardais la télévision en même temps, en guise d’indifférence surement mais encore plus pour lui montrer que je lui en voulais énormément.

« Mais laisse moi rire quoi. Fais pas genre la santé ça t’intéresse ok, parce que monsieur je ne veux pas me faire soigner parce que je me suis fait largué, d’ailleurs c’est encore pire que ça parce que tu ne sortais pas avec. Tu me laisses faire ce que je veux avec ma santé parce que ça ne te regarde pas. Si je ne t’en ai pas parlé c’est qu’il y a une raison. Mael le sait et Ainsley parce qu’ils sont les plus important dans ma vie. Même mes parents sont pas au courant alors laisse tombé et vas t’en. »

Je montais le son de la télévision et le regardais.

« Je veux pas parlé, j’ai pu rien a te dire. »

« LOL ! Tu crois quoi ? Que c’est parce que tu as repris ton bipeur que ça va allait mieux ? Oui je t’en veux et t’as pas idée parce que t’as pensée qu’a ta gueule alors que moi j’avais besoin de toi. J’ai essayé de t’aider et tu m’as envoyé chier. C’est chacun son tour. »

Je le regardais, oui j’étais une tête de mule et une énorme même. Personne n’allait me changé même mon amoureux, n’y arrivait pas alors.

« Tu comprends pas je crois. Ce n’est pas parce que tu décides et que tu veux que tout seras comme avant. Oui je t’en veux, parce que j’ai pleuré pour toi. Moi aussi je suis malade et pourtant je ne pensais qu’a toi et pas a moi ou a mon opération. J’aurais tout fait pour toi et toi tu te contentais de me parlé comme a ton chien et de prendre la défense de Jude ! »

J'étais la l'écouter et j'avais bien envie de rire. Il parlait de gamineries alors que c'est lui le premier a être gamin dans l'histoire. Je soupirais et reprenais la parole.

« Non mais attend, d'ou tu m'insultes de gamines. Tu t'inquiètes pour moi mais peut être que si j'ai été méchante c'est parce que moi aussi je m’inquiétais pour toi mais non bien sur, ça tu peux pas comprendre, tu veux même pas faire l'effort de comprendre. Ouais je te l'ai pas dit et tu sais pourquoi ? Parce que si tu me connaissais mieux je suis pas le genre de fille qui balance ses problèmes a tout le monde, qui se plaint et prend ensuite la pitié des gens, non ça n'est pas moi et je pensais que tu le savais. »

Je n'eu le temps de finir ma phrase que je voyais qu'Aaron allait mal. J'appuyais sur le bouton d'urgence pour appeler l'infirmière et le regardais .

« Aaron ! Aaron ! »